Chaque matin, thé fumant à la main, Sylvie (1) s’assoit devant son ordinateur et entame sa «patrouille», comme on dit chez les «wikipédistes» aguerris. Prolifique contributrice, cette retraitée de l’éducation nationale vérifie que les pages dédiées à ses marottes n’ont pas été «vandalisées» dans la nuit, guettant les germes des «guerres d’édition» de demain. Puis, elle se rend sur le «Bistro», le forum des rédacteurs, et suit «le grand drama de Wikipédia».
Guillaume Gendron